Comme le disait une journaliste lors de la conférence de presse post-qualification : « On n’a jamais vu autant de monde devant votre réceptif ! » Bien sûr, la question de la pression engendrée par le vedettariat fut maintes fois posée au double champion du Monde Moto2. « J’ai un peu découvert cette sensation l’année dernière mais c’est vrai, il y a encore plus de monde pour les photos et les autographes. Heureusement, les gens de l’équipe qui managent les relations avec la presse et les rencontres avec les fans m’ont concocté un très bon emploi du temps, parfaitement calibré pour me laisser le temps de me détendre. Tout est sous contrôle. De plus, je dois reconnaître que je vis des moments assez exceptionnels comme on n’en vit pas tous les jours dans une vie. Ce serait dommage de les considérer de façon négative. »
Direction la salle de la presse pour recueillir un avis autorisé, celui d’un éminent représentant des médias spécialisés étrangers, donc en dehors de tout patriotisme : « Zarco n’a pas toujours eu bonne presse comme c’est le cas actuellement, mais avec son manager Laurent Fellon, ils ont beaucoup travaillé et aujourd’hui, il peut espérer réaliser de très belles choses, y compris l’an prochain avec son futur employeur. Il peut encore progresser, par exemple en se montrant moins impatient qu’aujourd’hui. »
